mercredi 13 février 2008

Forte en caractère, fine en bouche ...

















Une nouvelle Grimbergen Heineken s'empare d'Alken-Maes

Mis en ligne le 02/02/2008

Scottish & Newcastle, propriétaire d'Alken-Maes, a accepté d'être racheté par Carlsberg et Heineken. En Belgique, les syndicats ne sont pas rassurés.

Et moi non plus ...

Grimbergen vient de lancer sa dernière-née dans la gamme des bières d'abbaye traditionnelles : la Grimbergen Dorée 8°, une bière blonde de fermentation haute, refermentée en bouteille et présentant un degré d'alcool élevé.

Grimbergen est l'une des marques du groupe Alken-Maes, propriété du brasseur britannique Scottish & Newcastle qui vient d'accepter d'être racheté par le Danois Carlsberg et le Néerlandais Heineken pour 7,8 milliards de livres (10,5 milliards d'euros).

Le brasseur britannique Scottish & Newcastle, propriétaire en Belgique d'Alken-Maes (qui brasse notamment la Maes, la Grimbergen, la Mort Subite, la Cristal ou la Ciney), a accepté vendredi d'être racheté par le Danois Carlsberg et le Néerlandais Heineken pour 7,8 milliards de livres (10,5 milliards d'euros).

Après avoir refusé trois propositions inférieures, S & N a fini par accepter vendredi l'offre à 800 pence par action du consortium, qui valorise son capital existant à 7,6 milliards de livres, et le capital "existant et à venir" à 7,8 milliards de livres, selon le consortium qui précise qu'aucun dividende ne sera versé en sus de ce prix. Carlsberg héritera de Kronenbourg ainsi que des activités grecques, chinoises et vietnamiennes de S & N. Surtout, il hérite de la lucrative deuxième moitié de BBH, la coentreprise avec Scottish & Newcastle en Russie. Heineken prendra les activités britanniques, irlandaises, portugaises, finlandaises, belges, américaines et indiennes.

La séparation du groupe sera faite "le plus vite possible et en tout cas dans les douze mois" suivant la réalisation effective de la fusion, prévue au deuxième trimestre, selon le consortium.

Au niveau belge, des réunions du personnel ont eu lieu, au cours de la journée, dans les différents sites d'Alken-Maes pour mettre les quelque 500 travailleurs au courant de la décision. Le second plus grand brasseur de Belgique a deux brasseries : l'une à Alken et l'autre à Kobbegem. Les services administratifs et commerciaux se trouvent à Waarloos.

Si la direction d'Alken-Maes entrevoit l'avenir de manière positive, Steve Rosseel, de la CSC, estime quant à lui qu'"il y a beaucoup d'incertitude". Selon lui, "la direction se pose elle-même beaucoup de questions et a peu de réponses. Elle nous a donné la garantie qu'elle mettrait immédiatement à notre disposition toute information supplémentaire". L'incertitude pèse également sur l'avenir des sites d'Alken-Maes. Heineken, qui va reprendre les activités belges de S & N, songe par le biais de cette reprise à épargner annuellement quelque 162 millions d'euros, dont 70 pc via des réductions de coûts. Des économies qui peuvent prendre n'importe quelle forme, estime le secrétaire de la CSC.

"Nous avons enregistré de bons chiffres ces dernières années en misant sur une stratégie de marques fortes. Nous avons un panier de belles marques. Je ne pense pas que nous devons nous faire du soucis", a déclaré la responsable de la communication d'Alken-Maes, ajoutant que la direction du brasseur belge avait informé le personnel autant que faire se peut. (D'après Belga)

source : La Libre.be

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lundi 11 février 2008

Verre à moitié vide ou à moitié plein ?






C'est dans un de ces trous noirs que vont se dérouler les prochains jeux olympiques. Quel est alors le sens de la question ? RSF (Reporters Sans Frontières) a oublié de représenter sur sa carte la myriade de sociétés qui représentent les plus gros utilisateurs d'Internet. Chacune d'entre elles adopte sa politique interne de circulation de l'information de façon extrêmement variable en fonction de la législation du pays hôte et, surtout, de l'éthique du patron de l'entreprise.

Ne nous voilons pas la face. Lorsqu'un individu passe le tiers de son existence (dans un pays socialement à la pointe du progrès) de façon taillable et corvéable dans l'entreprise qui le rémunère, le deuxième tiers à dormir, il ne lui reste plus beaucoup de temps dans ses loisirs (télévision, sports, ...) pour se consacrer à la lecture des informations et à la défense d'idées démocratiques. Il sera d'autant plus sensible à toute forme de censure. Le stress permanent que fera régner le patron pour que ses objectifs commerciaux soient atteints ne contribuera pas à son bien-être.

Il faut donc encourager toutes les manifestations attirant l'attention sur ces injustices. N'hésitez pas à lire les articles à ce sujet dans Le Monde, Libération.fr, Libération.fr encore et jusqu’à l’ouverture des jeux Olympiques de Pékin, retrouvez chaque semaine dans Libération le visage de ceux qui s’associent à Reporters sans frontières pour refuser la répression en Chine.









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Entorse, les bons réflexes @ play sport





source : play sport

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Carolina Kluft @ mon sport



Reine incontestée de l'heptathlon, labelle Suédoise est aussi une athlète charismatique respectée et appréciée de tous.PAR DAVID BERTRAND

Il est des champions que le public aime voir triompher plus que d'autres. Non qu'ils soient les plus talentueux ou qu'ils dominent outrageusement. Maïs parce qu'ils transcendent le public et que leur enthousiasme fait palpiter les cœurs. Agassi et ses pleurs sur le central de Roland-Garros, Noah dans les bras de son père, Rossi et ses pitreries pour les fans… Carolina Kluft est de cette trempe. Quand elle gagne, ses pas de danse, ses sauts de joie et ses révérences ajoutent un petit quelque chose d'inoubliable à la performance : le souvenir joyeux du triomphe. Drapée dans ses couleurs nationales, un sourire éclatant illuminant son visage, Kluft irradie de bonheur et le public aime ça. C'est aussi ça le sport. Un puissant échange émotionnel entre ceux qui le pratiquent et ceux qui s'en nourrissent.

A peine 25 ans, et déjà reine

Dire que la belle Carolina Kluft fait l'unanimité dans sa discipline reviendrait à rappeler que les Suédois sont blonds ou que les athlètes de couleur courent plus vite que les autres… Un euphémisme en quelque sorte. Reine de l'heptathlon, elle détient tous les titres, européens, mondiaux et olympiques. Son palmarès est à l'image de ses jambes : interminable. Mais le détailler dans ces colonnes en étalant médailles et records deviendrait presqu'ennuyeux. Vingt-cinq ans à peine (elle est née le 2 février1983) et déjà une carrière à faire pâlir d'envie les milliers de sportifs qui usent inlassablement leurs spikes sur tous les tartans de la planète. Un mètre 78 de classe et d'efficacité, responsables de bien des mauvaises nuits pour Eunice Barber et les autres. Avec, pour parachever le tableau, des yeux piscine, des cheveux couleur blé et une attitude d'une simplicité non feinte. Mais la touche Kluft, ce n'est pas tant des qualités techniques ni une polyvalence sans faille. Non, c'est le charisme. Tant de charisme! Cette fille-là ne communique pas avec le public. Elle flirte avec lui.

D'abord s'amuser

Un physique de déesse, une pointe de vitesse qui n'a rien à envier aux meilleurs sprinters du monde, une endurance de marathonienne et un mental à toute épreuve… Que voulez-vous de plus ? Respectable et respectée, Carolina aime à rappeler qu'elle n'est jamais aussi bonne que quand elle s'amuse. Un plaisir affiché doublé d'un enthousiasme communicatif qui rappellent à ceux qui en douteraient encore que le sport n'est jamais qu'un jeu… Troisième meilleure performeuse de l'histoire (7001 points), elle reste loin derrière Jackie Joyenr-Kersee (7291 points).Kluft ne battra peut-être jamais ce score établi à une époque où le dopage se montrait souvent plus efficace qu'un vent favorable, aussi puissant soit-il. Mais qu'à cela ne tienne, la Suédoise vit l'instant sans frustration.

Pékin avant la retraite

Carolina Kluft est née pour gagner. Un papa footballeur professionnel et une maman sauteuse en longueur : tous les ingrédients étaient réunis pour lui donner un corps de gazelle, la rage de vaincre d'un Viking et faire d'elle une assoiffée de victoires. Une machine. Mais avec des sentiments. Pékin devrait couronner l'une des plus grandes sportives scandinaves de l'histoire et mettre un terme à sa carrière, elle qui n'aspire désormais plus qu'à une seule chose :accomplir ses rêves de femme et redevenir un être humain comme les autres.

source : mon sport

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