vendredi 29 août 2008

Les vacances sont terminées !

Après le Bateas qui ouvre la saison du côté de la VSF (Vlaamse Squash Federatie pour ceux qui l'ignoreraient), la tradition est respectée à la LFS (Ligue Francophone de Squash): le Winner's organise son 24ème Open (map) du 9 au 13 septembre en prélude au championnat dont les premiers matchs sont programmés les 15 et 16 septembre.


Le droit d'inscription (18 €) comprend un TSHIRT (pour les personnes présentes à la remise des prix) et le renommé buffet pakistannais du vendredi à partir de 20:00. L'inscription peut se faire via le site de la LFS, la réception du Winner's (TEL +32(2)280 0270 FAX +32(2)230 2448), par mail via Alain Crabbe (crabbea@skynet.be) ou la LFS (info.lfs@squash.be).

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mercredi 27 août 2008

Crise, krach, bulle, ... pas la joie dans l'immobilier !

Petite diversion, il n'y a pas que le squash dans la vie ...


La France se dirige vers une crise immobilière mais pas vers un krach



Les ventes de logements neufs, avec une baisse de 30% pour les six premiers mois de 2008, démontrent que la France se dirige vers une crise immobilière mais elle devrait toutefois éviter un krach en raison du faible endettement des ménages emprunteurs.

"Ce n'est plus seulement une crise de financement; la France se dirige vers une crise de l'immobilier", estime Michel Mouillart, professeur d'économie à l'université de Paris X-Nanterre, après l'annonce mardi de la forte chute des ventes de logements neufs et du nombre de mises en chantier.

Les ventes de logements neufs en France ont reculé de 33,9% au deuxième trimestre par rapport à la même période de 2007, pour s'établir à 21.500 unités, a annoncé mardi le ministère de l'Ecologie. Sur l'ensemble du premier semestre, la baisse est de 30% par rapport à l'année dernière.



La chute dépasse même les 50% dans cinq régions: Aquitaine, Lorraine, Midi-Pyrénées, Bourgogne, Limousin. Seule Champagne-Ardenne échappe à la baisse en France métropolitaine. Aussi le nombre de logements neufs proposés à la vente a atteint, avec 110.500 logements, un sommet qui n'avait plus été atteint depuis 30 ans (134.000 en 1982), souligne M. Mouillart.

Les logements terminés représente 3,4% de ce total, la plupart des programmes n'étant pas terminés ou pas mis en oeuvre, relativise Jean-François Gabilla, président de la Fédération des promoteurs constructeurs (FPC).

Les nuages noirs qui assombrissent l'avenir de l'immobilier (hausse des taux d'intérêt, accès plus difficile aux crédits accordés par les banques) conduisent pourtant la FPC a réviser drastiquement ses prévisions pour l'ensemble de l'année 2008. "Je prévois désormais que le nombre de logements neufs construits ne sera compris qu'entre 90.000 à 95.000 contre 110.000 envisagés en début d'année et 127.000 en 2007", déclare M. Gabilla.

Conséquence de ce fort ralentissement: le nombre de mises en chantier de logements a encore reculé au cours de la période allant de mai à juillet, pour atteindre 107.238 soit 11,8% de moins qu'un an plus tôt, selon le ministère de l'Ecologie. Au cours des 12 derniers mois (août 2007 à juillet 2008), le nombre de mises en chantier est en repli de 6,6% à 401.623 unités et le nombre de permis de construire de 12,6% à 494.791 unités.

Mais, estime l'Institut Xerfi, "il ne faut pourtant pas trop noircir le tableau" car "le scénario noir du début des années 90, marqué par une explosion des stocks et l'effondrement des prix, n'est pas d'actualité". Pour Xerfi "contrairement aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et à l'Espagne, la situation financière des ménages reste saine" car "il n'y a pas eu de dérives excessives de l'endettement". "La bulle immobilière se dégonfle et les prix vont baisser mais il n'y aura pas de krach", prédit Alexandre Mirlicourtois de Xerfi.

Ce dégonflement de la bulle immobilière touche aussi désormais l'Ile-de-France, la région la plus riche du pays. Ainsi, les prix des appartements anciens ont baissé (entre -0,2% et -1,4%) dans tous les départements franciliens, exception faite de Paris (+1,5%), sur la période mars-mai par rapport à la même période de 2007, selon les chiffres publiés lundi par la Chambre des notaires Paris-Ile-de-France. Toutefois, à fin mai, les prix des appartements anciens restent en hausse de 6,3% par rapport à mai 2007, tirés par une augmentation des prix toujours forte à Paris (+9,3% sur un an).

13:46 - 26/08/2008
Copyright © L'Echo


Nouvelles d'hier :


Immobilier : la crise américaine peut toucher la France
[ 24/01/08 - 06H54 ]


Le professeur Shiller ne mâche pas ses mots : la crise immobilière qui frappe les Etats-Unis est la plus grave depuis la Grande Dépression, affirme ce spécialiste. Cette crise peut s'étendre dans d'autres pays, y compris la France. Extraits de cette rencontre avec ce professeur d'économie à Yale (USA) .

Le pire de la crise immobilière américaine est-il passé, selon vous ?


Cliquez ici

Non. Le système financier va souffrir, les faillites personnelles vont se multiplier. Nous n'en sommes qu'au début. Nous assistons à la plus grave crise immobilière depuis la Grande Dépression de la fin des années 1920. Ses conséquences économiques ne seront sans doute pas aussi sévères même si le risque de récession est non négligeable. Mais on va assister à une véritable destruction de valeur. Des millions de gens vont perdre leur maison, et ce qui me chagrine, c'est que tout cela résulte de comportements parfois malhonnêtes. Le public a été entretenu dans un mythe, à savoir que le prix des logements finit toujours par remonter. On a poussé des gens à acheter des maisons surévaluées en recourant à des emprunts extrêmement complexes...


Combien de temps, cette crise risque-t-elle de durer ?


Les cycles peuvent être longs. Lors d'une précédente crise, les prix à Los Angeles avaient atteint un pic en 1989 et touché leur point bas seulement en 1997. Soit neuf années de chute et, au total, un recul des prix ajustés de l'inflation de 40 %. Dans les dix premières agglomérations américaines, le point bas avait été atteint au bout de quatre ans et demi, en 1994. Au cours de cette période, les prix avaient reculé de 8 % en nominal mais de 20 % ajustés de l'inflation. Cette fois-ci, la crise pourrait durer plus longtemps et être plus profonde. N'oubliez pas qu'au Japon, les prix ont chuté pendant quinze années consécutives. On ne peut exclure une situation similaire aux Etats-Unis. Sans connaître une grave récession, nous pourrions traverser une longue période de croissance molle. La bulle n'a en effet pas affecté que la pierre. Le sentiment d'enrichissement a poussé les gens à accepter de payer beaucoup de choses plus cher. Les prix ont augmenté, les profits et les marges des entreprises se sont accrus. Nous allons peut-être connaître une situation inverse avec une réduction durable des marges. Incontestablement, l'optimisme va tomber. Les entreprises vont moins investir, les ménages épargner davantage.


Cette crise américaine peut-elle s'internationaliser ?


Bien sûr. Les prix de l'immobilier sont déjà en recul à Londres, et la Banque d'Angleterre a commencé à diminuer ses taux en réaction. Je ne suis pas un expert du marché français mais, même si les prix ne baissent pas encore, ne se tassent-ils pas ? Les marchés sont corrélés. Il ne faut pas regarder l'immobilier seulement avec des yeux d'économiste mais aussi de sociologue. La hausse se transmet comme une épidémie. La baisse aussi. Quand les prix montent autour de vous, cela entretient votre optimisme. Quand ils baissent, cela nourrit votre pessimisme. La vision que vous avez du monde affecte votre jugement. Aujourd'hui, les prix reculent aux Etats-Unis, du coup les institutions financières américaines sont fragilisées. Et je pense que les Français le savent.


Cette crise pourrait-elle dégénérer ?


Nous allons sans doute traverser une période difficile, mais ne prévoyons pas l'apocalypse. Il ne faut pas perdre de vue que depuis un demi-siècle l'économie mondiale est globalement en croissance continue. Il va y avoir des dommages mais ils seront sans doute localisés dans certains pays. Ce n'est pas la fin du monde. Le principal risque est en fait social. Au moment où les salaires des PDG atteignent des niveaux record et où la rentabilité des entreprises est à un sommet, on risque de mettre 2 millions de personnes dans la rue aux Etats-Unis. La crise du " subprime " va frapper les plus pauvres. Cela pourrait avoir de lourdes conséquences.


Mais cette crise ne pourrait-elle pas comporter aussi des effets bénéfiques ?


Ce qui fait la force et l'attrait de villes comme New York ou Paris, c'est en partie leur vitalité, résultat de leur diversité. Retirez les artistes, mais aussi les professeurs, les policiers..., ceux qui ne peuvent plus se permettre de vivre dans une ville qu'ils servent, et que reste-t-il ? Une ville ne peut vivre seulement grâce à des spéculateurs. Rares sont ceux prêts à l'admettre mais, paradoxe, une chute des prix peut aussi avoir des conséquences positives. Les hommes politiques parlent de pouvoir d'achat, de logement abordable, pourtant ils sont inquiets dès que les prix baissent dans l'immobilier. Mais l'accroissement des inégalités que l'on constate aujourd'hui et qui est en partie lié à l'évolution du prix des logements est aussi porteur de tensions sociales.


Existe-t-il un lien mécanique entre explosion des bulles immobilières et récession ?


Historiquement, on n'observe pas de lien entre l'évolution des prix des maisons et les récessions. A la rigueur, on peut constater une corrélation entre la construction et les cycles économiques. Souvent, les récessions sont ainsi précédées d'un recul de la construction. Cela dit, cette fois-ci, il ne s'agit pas d'une bulle parmi d'autres mais véritablement d'une bulle gigantesque...


Les emprunteurs n'ont-ils pas tout de même fait preuve d'un peu de naïveté ?


Certains, sans doute. Mais d'autres ont simplement été victimes de l'air du temps. Ils ont refusé d'ouvrir les yeux car ils préféraient croire que les prix de l'immobilier ne pouvaient que monter. Du côté des organismes de crédit ou même des politiques, certains se sont bouché les yeux. Ils pensaient rendre service aux nouveaux accédants à la propriété.


Autrement dit, le marché de l'immobilier ne serait pas rationnel ?


A la fin des années 1980, nous avions publié avec Karl Case un article qui avait surpris. Il démontrait que la croissance ou la décroissance des prix de l'immobilier suivait une courbe lisse, sans à-coups. C'est anormal, car, sur un marché spéculatif, hier ne permet pas de prédire demain, et l'année dernière encore moins l'année prochaine. Dans l'immobilier, si. Il peut certes y avoir des inversions de tendance, mais le mouvement est régulier. C'est en fait un marché d'amateurs se comportant de façon moutonnière. La nature humaine est parfois étrange mais les hommes ont souvent tendance à se croire plus malins que les autres. Dans une bulle immobilière comme dans une arnaque de type vente pyramidale (schéma de Ponzi), les intervenants sentent bien le côté irrationnel mais ils se disent que cela peut durer encore un peu et que, eux, seront capables d'en tirer profit avant que le château de cartes ne s'écroule. Les gens font montre d'une confiance excessive à l'égard de leur propre intuition. Quand les prix s'envolent, les sceptiques, qui estiment comprendre les mécanismes économiques, passent pour des idiots en choisissant de rester à l'écart du marché. Si l'immobilier a monté pendant X années, pourquoi ne monterait-il pas une année de plus ? Dans ces conditions, c'est presque rationnel de se dire que l'on peut acheter quitte à revendre rapidement avant que la tendance ne s'inverse.


Cette " folie " immobilière dont nous sommes régulièrement les victimes est-elle nouvelle ?


Il y a cinquante ans, l'évolution des prix de l'immobilier n'était pas un sujet de préoccupation. La presse n'en parlait pas et les indices que nous avons retrouvés montrent que les gens considéraient ce sujet d'une façon plutôt sereine. Le prix d'une maison, c'était à hauteur de 15 % celui du terrain, qui certes peut prendre de la valeur, et à 85 % les coûts de construction, en général assez stables puisque les progrès techniques et les gains de compétitivité permettent de compenser certaines hausses. A l'époque, personne ne voyait la pierre comme un investissement particulièrement bon. Les choses ont changé. Nous assistons à un phénomène de fièvre acheteuse auto-entretenue. Les prix montent, donc les gens en concluent qu'il faut acheter. Cela ne s'apparente pas à proprement parler à de la folie mais sans conteste à un manque de recul ou de perspective historique. Pour chaque bulle, on tente d'ailleurs de trouver une explication plausible. Cette fois-ci, on a parlé de victoire du capitalisme, de globalisation et d'enrichissement des Chinois et des Indiens, acheteurs de maisons partout dans le monde. C'est séduisant mais bien trop réducteur.


En même temps, sur la durée, les prix semblent bien être toujours à la hausse.


Certains ont intérêt à perpétuer ce mythe, mais c'est en grande partie un effet d'optique. L'inflation explique les hausses mais j'ai démontré, chiffres à l'appui, qu'aux Etats-Unis, les prix ajustés de l'inflation n'ont pas changé entre 1890 et 1990. Certains ont fait les calculs pour des villes comme Amsterdam depuis le XVIIe siècle ou des pays comme la Norvège et sont arrivés aux mêmes conclusions. Aujourd'hui, pour que les prix se retrouvent en ligne avec leur niveau historique, il faudrait qu'ils s'effondrent de 50 % aux Etats-Unis. Je ne dis pas que c'est ce que je prévois, mais je dois reconnaître qu'il n'y a là rien d'impossible.


Combien de temps, cette crise risque-t-elle de durer ?


Les cycles peuvent être longs. Lors d'une précédente crise, les prix à Los Angeles avaient atteint un pic en 1989 et touché leur point bas seulement en 1997. Soit neuf années de chute et, au total, un recul des prix ajustés de l'inflation de 40 %. Dans les dix premières agglomérations américaines, le point bas avait été atteint au bout de quatre ans et demi, en 1994. Au cours de cette période, les prix avaient reculé de 8 % en nominal mais de 20 % ajustés de l'inflation. Cette fois-ci, la crise pourrait durer plus longtemps et être plus profonde. N'oubliez pas qu'au Japon, les prix ont chuté pendant quinze années consécutives. On ne peut exclure une situation similaire aux Etats-Unis. Sans connaître une grave récession, nous pourrions traverser une longue période de croissance molle. La bulle n'a en effet pas affecté que la pierre. Le sentiment d'enrichissement a poussé les gens à accepter de payer beaucoup de choses plus cher. Les prix ont augmenté, les profits et les marges des entreprises se sont accrus. Nous allons peut-être connaître une situation inverse avec une réduction durable des marges. Incontestablement, l'optimisme va tomber. Les entreprises vont moins investir, les ménages épargner davantage.


Cette crise américaine peut-elle s'internationaliser ?


Bien sûr. Les prix de l'immobilier sont déjà en recul à Londres, et la Banque d'Angleterre a commencé à diminuer ses taux en réaction. Je ne suis pas un expert du marché français mais, même si les prix ne baissent pas encore, ne se tassent-ils pas ? Les marchés sont corrélés. Il ne faut pas regarder l'immobilier seulement avec des yeux d'économiste mais aussi de sociologue. La hausse se transmet comme une épidémie. La baisse aussi. Quand les prix montent autour de vous, cela entretient votre optimisme. Quand ils baissent, cela nourrit votre pessimisme. La vision que vous avez du monde affecte votre jugement. Aujourd'hui, les prix reculent aux Etats-Unis, du coup les institutions financières américaines sont fragilisées. Et je pense que les Français le savent.


Cette crise pourrait-elle dégénérer ?


Nous allons sans doute traverser une période difficile, mais ne prévoyons pas l'apocalypse. Il ne faut pas perdre de vue que depuis un demi-siècle l'économie mondiale est globalement en croissance continue. Il va y avoir des dommages mais ils seront sans doute localisés dans certains pays. Ce n'est pas la fin du monde. Le principal risque est en fait social. Au moment où les salaires des PDG atteignent des niveaux record et où la rentabilité des entreprises est à un sommet, on risque de mettre 2 millions de personnes dans la rue aux Etats-Unis. La crise du " subprime " va frapper les plus pauvres. Cela pourrait avoir de lourdes conséquences.


Mais cette crise ne pourrait-elle pas comporter aussi des effets bénéfiques ?


Ce qui fait la force et l'attrait de villes comme New York ou Paris, c'est en partie leur vitalité, résultat de leur diversité. Retirez les artistes, mais aussi les professeurs, les policiers..., ceux qui ne peuvent plus se permettre de vivre dans une ville qu'ils servent, et que reste-t-il ? Une ville ne peut vivre seulement grâce à des spéculateurs. Rares sont ceux prêts à l'admettre mais, paradoxe, une chute des prix peut aussi avoir des conséquences positives. Les hommes politiques parlent de pouvoir d'achat, de logement abordable, pourtant ils sont inquiets dès que les prix baissent dans l'immobilier. Mais l'accroissement des inégalités que l'on constate aujourd'hui et qui est en partie lié à l'évolution du prix des logements est aussi porteur de tensions sociales.


Existe-t-il un lien mécanique entre explosion des bulles immobilières et récession ?


Historiquement, on n'observe pas de lien entre l'évolution des prix des maisons et les récessions. A la rigueur, on peut constater une corrélation entre la construction et les cycles économiques. Souvent, les récessions sont ainsi précédées d'un recul de la construction. Cela dit, cette fois-ci, il ne s'agit pas d'une bulle parmi d'autres mais véritablement d'une bulle gigantesque...


Certains accusent la Banque centrale américaine et Alan Greenspan d'avoir joué avec le feu et de ne pas avoir agi pour éviter les bulles. Partagez-vous ce point de vue ?


Les bulles ont tendance à naître de façon autonome. La banque centrale, en baissant ses taux, peut bien sûr entretenir un mouvement mais sans doute pas le créer. Il ne faut pas accorder trop de poids aux banquiers centraux. Quand ils remplissent correctement leur mission, ils peuvent stabiliser une économie, pas fabriquer la croissance. Cela dit, aux Etats-Unis, Alan Greenspan aurait sans doute pu en faire plus pour mettre en garde le public. En 1996, il a certes prononcé un discours en évoquant " l'exubérance irrationnelle " des marchés. Mais il n'est jamais revenu dessus. Peut-être considérait-il que le rôle du président du Conseil des gouverneurs de la Fed est de contribuer au dynamisme de l'économie. Il était en fait le reflet d'un changement idéologique qui veut qu'on ne puisse remettre en cause l'efficacité et la pertinence du marché. Aujourd'hui, ses mémoires s'intitulent " Le Temps des turbulences ". Pourquoi n'a- t-il pas parlé plus tôt ? Faire exploser des bulles peut avoir des conséquences négatives, mais les laisser gonfler au-delà du raisonnable, n'est-ce pas encore pire ?


Le gouvernement américain a tenté de réagir. Peut-il être efficace ?


Le problème est que le gouvernement ne veut pas mettre d'argent public sur la table. Le secrétaire au Trésor, Hank Paulson, a proposé de standardiser certaines procédures pour éviter les faillites, de moraliser certaines pratiques, de mettre en place un service de conseil... Mais c'est un programme facultatif et, s'il ne fonctionne pas, on risque de nourrir la déception du public.


Que peut-on faire pour éviter que de nouvelles bulles ressurgissent demain ?


Il n'y a pas de solution miracle, mais pour freiner la folie spéculative et minimiser l'impact des retournements de tendance, on pourrait, par exemple, imposer que les mensualités des crédits varient en fonction de l'évolution constatée des prix. Les taux initiaux seraient peut-être plus élevés qu'aujourd'hui, mais il existerait ainsi un mécanisme d'ajustement. On pourrait prévoir une baisse des remboursements si, au bout du compte, la maison vaut moins que prévu. On peut aussi, comme je l'ai fait, créer un marché boursier qui permette d'investir sur l'évolution des prix dans l'immobilier, un marché des " futures " de la pierre. Lors de la phase de hausse, ceux qui croyaient que la demande allait se retourner ne pouvaient rien faire, à part attendre d'avoir raison. Avec le marché des " futures ", qui malheureusement n'attire pas encore beaucoup de monde, on peut " shorter " l'immobilier, faire le pari que les prix vont baisser. Cela indique la tendance et pourrait contribuer à ouvrir les yeux.


source : Les Echos.fr




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mardi 26 août 2008

J - 5 @ Bateas


Le dimanche 31 août est la date limite pour s'inscrire au premier tournoi de la saison en Belgique qui se déroulera au Bateas à Gent (Dendermondsesteenweg 397 à 9040 Sint-Amandsberg) du 2 septembre au 6 septembre. L'inscription peut se faire en ligne via le site de la VSF en deux clics aux endroits indiqués par les flèches rouges sur les deux images ci-dessous. La liste des inscrits, c'est l'un des plus gros tournois de l'année, y est également disponible. Les résultats complets de l'année dernière sont toujours accessibles, n'hésitez pas à cliquer sur les images pour les agrandir.



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jeudi 21 août 2008

Next Events by Tommy Berden @ squash360

New Pro Circuit in the Netherlands
forexx pro tour.jpg
By Tommy Berden
Next Events


Next Events have launched a new pro circuit as a lead-up to the Forexx Women's World Open Squash 2009, which will take place next year in Amsterdam from 20-27 September.

The Forexx Pro Tour Squash 2008-2009 will consist of 10 professional tournaments, all counting towards the World Rankings. The theme of the new circuit will be 'The Road to the Forexx Women's World Open'.
The Forexx Pro Tour gives the Dutch men the chance to earn wildcards for next year's Dutch Open, while the women will be competing to earn main draw and qualifying places for the official individual World Championships for women in 2009.

The Forexx Pro Tour Ranking will determine the best Dutch players in the Forexx Pro Tour Squash 2008-2009. The points earned for this (internal) ranking will be based upon the World Ranking points that the Professional Squash Association (PSA) and Women's International Squash Players Association (WISPA) use. Players have to compete in at least half of the tournaments in the Forexx Pro Tour to be eligible for the available wildcards and hold Dutch nationality.

Next-Events_logo.JPG"We have launched the Forexx Pro Tour Squash 2008-2009 to provide the national top players with an opportunity to earn valuable points to climb up the World Rankings with the added bonus of competing for wildcards for the Worlds (women) or the Dutch Open (men)." said promoter Tommy Berden. "On top of that it ensures a long lead-up to the Forexx Women's World Open Squash 2009, which gives us multiple chances to promote this major event."

The first tournament of the new pro circuit will be the Forexx Dutch Open Squash 2008, which begins on September 2nd in the renowned Frans Otten Stadion in Amsterdam. This WISPA Gold championship and PSA 3 star event will be followed a few weeks later by the Pepsi Enschede Open Squash 2008 for the women (26-28 September) and the Turnstone Tilburg Trophy 2008 for the men (3-5 October).


Calendar Forexx Pro Tour Squash 2008-2009
Forexx Dutch Open 2008
| 02-07 September 2008 | Frans Otten Stadion, Amsterdam | PSA & WISPA
Pepsi Enschede Open 2008 | 26-28 September 2008 | Twentehallen, Enschede | WISPA
Turnstone Tilburg Trophy 2008 | 03-05 October 2008 | Pelikaan Tilburg, Tilburg | PSA
Q-sourcing Rotterdam Open 2008 | 07-09 November 2008 | Victoria Squash, Rotterdam | PSA
KEAN Delft Open 2008 | 28-30 November 2008 | Squash Delft, Delft | PSA
Flower Bulb Open 2008 | 12-14 December 2008 | Squash Hillegom, Hillegom | WISPA
Squash-Heroes Meersquash Open 2009 | 16-18 January 2009 | Meersquash, Hoofddorp | PSA & WISPA
SquashTime Eindhoven Open 2009 | 13-15 March 2009 | SquashTime, Eindhoven | WISPA
Eurosafe Solutions Zwolle Open 2009 | 08-10 May 2009 | Squash Zwolle, Zwolle | WISPA
Hemubo Squash Trophy 2009 | 29-31 May 2009 | Squash Almere, Almere | PSA

source: squash360

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mercredi 20 août 2008

World University 2008

Retour en Egypte, au Caire, où les 6èmes championnats mondiaux de squash réservés aux universitaires se déroulent du 22 au 28 août. Heureusement que SquashSite donne de l'information à ce sujet quant aux participants ! Le site officiel, deux jours avant le début de la compétition, ne nous donne que l'image suivante :


lorsque l'on clique sur Players & Teams ! On aurait pu voir que Ramy Ashour (PSA #4), Omar Mossad (PSA #23) et Tarek Momem (PSA #48) défendent les couleurs de l'Egypte et occupent les trois premières places du tableau. Peu de chances donc chez les messieurs pour que les titres en jeux leurs échappent.

Chez les dames, Omneya Abdel Kawy (WISPA #10) et Raneem El Weleily (WISPA #26), placées 1 et 2, ne laisseront pas beaucoup plus de possibilités à trois joueuses figurant dant le top 50: Alana Miller (CAN #43), Emma Beddoes (GBR #44) et Lim Yoke Wah (MAS #49). Du bon spectacle en perspective.





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Wikio ou Wikia ?




Wikio est un moteur de recherche d'actualité créé par Pierre Chappaz, fondateur du comparateur de prix Kelkoo. Le service a été officiellement lancé le 19 juin 2006, auparavant il était dans une phase de développement à laquelle ont participé plus de bêta-testeurs.

À la différence des moteurs de recherche d'actualités existants tels Google Actualités ou Yahoo Actualités, Wikio recherche l'actualité à la fois dans les sites de presse mais également dans les blogs (à la manière du site Imooty). Les blogs sélectionnés sont choisis en fonction de la qualité des contenus publiés. Cette méthode permet à Wikio de revendiquer plus sources en français et plus de en anglais.


Pour la suite, voir Wikipédia.org...



Wikia, à l'origine nommé Wikicities, était originellement un annuaire Web créé en mars 2004 par le fondateur du projet Wikipédia, Jimbo Wales.

Bien que le projet d'annuaire soit abandonné, le site et le nom Wikia restent actifs comme fournisseurs d'espace wiki pour les anciennes Wikicities (les Wikia) et les projets sœurs Uncyclopedia et Memory Alpha.

Elle n'est pas liée à la Wikimedia Foundation ou à Wikipédia.


Pour la suite, voir Wikipédia.org...

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samedi 16 août 2008

Squash @ blogs.guardian.co.uk/sport by Oliver Irish

Well done to Oliver for writing such a good article, I was wondering if we would ever hear anything written on this subject. Also very good points added on subsequent posts.

Squash can be a great sport to watch, it just depends on the match. Anyone who ever saw Jonathon Power play live (something I will never forget, even though it was only an exhibition match I saw) would be left in no doubt that this is a sport with immense potential. I was also at a small PSA tournament in Europe at the start of March, and one of the semifinals was a fantastic spectacle, won by a young Welshman called Jethro Binns. Awe-inspiring stamina!



The potential that squash has has unfortunately been limited over the years by the APPALLING standard of administration and promotion done by the world governing body and the major squash federations in those countries where the sport is most popular.

It is also a serious problem, as previous posts have stated, that squash courts are being identified as unnecessary "wastes of space" by these stupid corporate gyms, who are obviously run by people too thick to notice that there is actually healthy demand for GOOD QUALITY squash courts, but obviously that demand does not exist for courts that have HOLES IN THE FRONT WALL, LIGHTS WITHOUT LIGHTBULBS, DUST, DIRT, PIECES OF FLUFF AND OTHER ASSORTED DETRITUS ON THE FLOOR, DOORS THAT DON'T CLOSE PROPERLY, etc. etc. etc.

One of the best things about the British Isles has always been the tradition of squash playing on all levels throughout the country, and this has been reflected in the numbers of top professionals we've had on the pro tour over the years. However this success has been threatened by the closure of courts, to the extent that many people no longer have adequate facilities to use, and have had to stop playing, or cannot play as frequently as they'd like.

In an age when there is a lot of talk about obesity, over-indulgence of alcohol, food, excessive violence, aggression and so on, it would be nice if the government would get behind the sport of squash, because there is surely a strong case to suggest that this great sport can offer us a wealth of answers to the above problems:
- A dynamic, fun, social sport that people of any age can play
- A very affordable, egalitarian sport - you can pick up all the equipment you need for practically nothing
- A game of squash burns more calories than any other sport, and participants use more muscles throughout the body than any other sport, so you get more of a work-out but also have great fun during it - far more fun than being in the gym, which is a chore
- As one previous post stated eloquently, "you can hit the bejaysus out of the ball but still keep it in play", so you can vent your aggression in a controlled environment and get fit doing it - surely this is better (and more fun) for young people than drinking White Lightning on street corners and stabbing people?
- Britain already has a wealth of squash stars in the PSA and WISPA rankings, they could get behind a government campaign to HIT THE COURT. Come to think of it, what are legends like John White and Peter Nicol doing these days since they retired? Get them on board, too.

I was recently speaking to a young Egyptian professional at a tournament (ranked in top 90 PSA), I asked him what it's like in Egypt these days with squash. He said everybody plays there, it's like the top sport in Egypt! I asked him about the clubs, is there sufficient capacity for so many people to play (huge population they have there). He said no problem for that, there are so many clubs there, so there's enough capacity. And that all the kids are playing, which is clearly the key thing, and the reason why they have so many top players including guys like Amr Shabana (world #1) and Wael El Hindi (top 10 player) to name but a few.

These guys like Shabana and El Hindi have profiles akin to that of David Beckham in Egypt. How did Egypt get to be the leading force in world squash? We need to learn from them. They're not playing on broken, chipped, dusty courts. They're not turning their squash clubs into apartment blocks and putting bloody exercise bikes and rowing machines into the areas where people enjoy playing squash. Egypt is a country of civilised, highly intelligent and forward-thinking people. They know what they're doing. If we want Britain to continue to have players of the calibre of, say, John White, Peter Nicol and now James Willstrop, then we need to learn from the Egyptians. And the British government needs to get behind squash, which could pretty much single-handedly wipe out obesity, violence and lack of direction which unfortunately characterise British youth these days.

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vendredi 15 août 2008

citius, altius, fortius, ...

Sans commentaires ...

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John White interrogé par Shawn Patton @ Squash 360

Au gré de mes pérégrinations, je vous fais part de mes découvertes. Squash 360 est l'une des dernières, n'hésitez pas à vous y rendre. Combien de temps vont-ils résister ? Nul ne le sait et moi-même je ne suis pas éternel. En conséquence, j'essaie de sauver les perles que je découvre de temps en temps. En voici une:


ENCORE - White Shares His Ideas and Concerns E-mail

Interviewed by Shawn Patton

John White, another respected voice in professional squash discusses his ideas to improve the PSA and shares his perspectives on a wide range of topics.

How has the Tour improved over your years in the game?
Over let's say the last 15 years, I haven't seen any real change. Yes the the Tour is growing and that's great. But if we didn't have the Middle East we really wouldn't be a real circuit. Its come from people like Robert Edwards with the connections of top notch squash lovers in the Middle East putting up the money. Its not from the efforts of the PSA or players going in and doing exhibitions in new countries. Say the 4 of the top 12 players going in and doing some exhibitions to grow interest in our sport and Tour. If you put on a big tournament, this is the caliber of players you would get. We've actually never done that, WISPA does it and they get tournaments. Its either a lack of leadership or the players just sitting back on our butts doing nothing waiting for something to happen.
These large events coming up is not from the efforts of the PSA or players playing exhibitions, the organizers love squash and put on a big tournament, they have money and want to do that. But what happens in 09 or 2010 if Saudi or Kuwait don't want to continue? Where do we stand now? There's almost half a million dollars just from those two tournaments.
I've never really seen a five or a three year plan from the PSA. Either tournaments on the calendar or events they would like to add. But that's been going on now for years and years and years and has never changed.
Its almost a false economy and sense of security, the prize money increase, is it due to a number of large tournaments and one upmanship in one region of the world and our sport.
Thats all it is, in North America we have a great deal of smaller tournaments, which is great, what we need, these smaller tournaments help grow the tour and help support and grow the lower ranked players to gain ranking points, they are not just going away to just try and qualify, they do that, I used to do that, but it costs a fortune, but if there were 10 or 15 tournaments where I could play and be in the main draw, I'm earning points and a little bit of money feeling like a true professional rather than just going away to try and qualify and getting nothing for it. If you look at the major tournaments John Nimick in north america, Ziad Al-Turki in Saudi, Ross Triffit and his committe in Bermuda they all love squash. Its these organizers and the associations that are running and making these tournaments happen, its not because of what we the PSA or its players have gone out and got. Its what the organizer want to put on our tour. And Hong Kong, its one of our biggest events of the year as a player, we know when its going on, the only time it wasn't on was during the SARS thing was going on. I think it is 18 years running and maybe 20-22 years on our calendar if memory serves me right.
Ideas or hopes for PSA for changes
1. Geographically designed schedule I think. Like last year what Shabana did was just unbelievable and superhuman, what did he do ... win Qatar, then Saudi after only 1 day off, then flew to Hong Kong, back to Cairo for Egyptian Nationals, then to Bermuda, then back to across to India to play in the world Teams, winning the four majors. So the geographic design would make a world of difference. You could allow 2 days off between the finals and start of next event. You're not doing a long haul flight to attend the next event, that is the part that actually kills you.

2. A new CEO that runs the Tour as a business, not just someone who comes in because they love squash and wants to travel around. We need to have a CEO who will look into the events we used to have on and go to the top players and pay them to go put on some PSA exhibitions to get these events back on our Calendar. That needs to be done ASAP. Thats what we need to do in the future, approach things from a business standpoint, not hoping the events will come to us, we need to go to them. We have a little bit of TV, the Internet, but we need to go out and show the public what we have and get more smaller (and medium tournaments) which can grow into bigger tournaments.

3. A 12 month Calendar that we can look to and play for the next 12 months, which is something we don't have. We don't even know what is happening in January or February next year. As a player the only thing I can do is go back and look at past years and guess that these tournaments are going to be on again this year.
What can the players do?
Its hard for the players to go out and do a lot, some players are coaching, some are doing a lot of league over in Europe because that is how they make their money. I would like to see a few more PSA Tour Exhibitions to cities that were on the calendar, but aren't anymore. Go to countries where there used to be a circuit and go out and promote it. The players's expenses would be paid by the PSA /host country/organizers and the exhibitions would be scheduled to fit in with their schedule. Its not just about promoting ourselves, but the future of the Tour and upcoming players.
Is it true, and I don't know if this is one rule on the books, that is there but not always followed to the strict letter of the law ... that being the prohibition of paying appearance fees.
Thats been tried before, that you could play tournaments non-scoring. If you have an organizer who has a new tournament, he is allowed 2 non-scorers, he could go and say, hey Shabana can you come to our tournament, and officially you are not allowed to accept appearance fee for the tournament, that's the rule.
I would actually like the rule to be taken off and allow the players 2 tournaments where they can receive appearance money to support a tournament or organizer and if it happens, it happens. I would rather see it be put out on the table. Let's say for example a top 10 player was to play a small event and was paid $5,000 appearance fee to go play a 1 or 2 star tournament in Brazil ... he got payed extra and thats great because next year that tournament has grown, benefitted and is now a 4 or 5 star event.
The players have to go out and help the tour (and the rules have to be changed to allow them). Its the only way its going to grow.
It seems like a tangible way for players to try and help the tour, above the table and give event organizers the tools to attract sponsors, media, ticket sales and general interest.
exactly
What happened with the Board election.
I wasn't involved, I didn't vote for anybody. Seems like the same members on the Board, with Lee Beechill however the votes were counted was added. I'm slowly getting the gist of things, but until I hear directly from the Board members, I don't think the truth will ever be told exactly what happened. Which it should be. I agree with having players on the Board, but where we have former players who are just not involved in the tour from what I see,
I believe a fully functional and effective Board whether it is at a corporate level or at a sport body such as the PSA needs to serve a number of different purposes and roles. Visibly be a reflection of your membership and have a diversity of skills and opinions. Any thoughts?
The whole Board consists of squash players, except maybe Martin MacDonald, he has his own business so he probably knows the ins and out of business, but other than him, the Board consists of ex players or players still on the Tour
Many people have expressed if the PSA Board contained members with diversity of professional backgrounds, skills of accomplished business people, what happened with Gawain's contract, recent Board elections and the current "going through the motions" CEO search would not have happened and been tolerated.
Exactly, never would have. If we had a proper Board, he would have never had a 13 year contract. I don't know any other CEO who has a 13 year contract.
But where does the buck stop? Isn't the Board month in and month out responsible for representing and protecting the interests of the players and the Tour? They may have complained and asked for such things as a copy of the contracts or details around the CEO or revenues derived from the rights from TV and webstreaming, but what did they do about it, what did they accomplish?
Exactly. Nothing. Thats where it comes down to the Board not standing up and if half the Board has issues, isn't getting answers, they should come to the players and say, this is going on, we need to have a change or I'm going to stand down. But that doesn't happen. Regrettably, I've actually stopped going to AGMs, things are talked about for an hour and a half, and then you ask yourself just what has been decided, its like, well nothing. It happens all the time, talk, complaining, but nothing changes. Until we get a proper Board, who knows, we might have someone inside or outside of squash come in as CEO and say, we are going to have an all new vote of members, we are going to run it this way, we need to have a complete overhaul of who is on the Board.
Some people, myself included, are concerned the search process for the CEO is not being conducted in a manner that will attract the very best candate possible and may be deliberately structured to result in minimal interest to make it easier for one of the existing Board Members to assume the role in the absence of other candidates?
I haven't even seen an e-mail to let me know who is applying or interested. But that is our Board unfortunately. What are they going to do this time around to make sure we have a way to remove a CEO (or Board member for that matter) if things aren't working out. I would like to know these things as soon as possible.
What do you think of the benefits of a few respected players and other stakeholders such as promoters on a selection committee to select the new CEO? And for that matter a permanent seat on the Board for Promoters, one that is rotated on a quarterly basis? Might the Board be more representative of the Tour and gain some valuable perspectives?
Right now SOME of the Board members are looking out for their own interests, wanting to travel to tournaments, see how the top players are going now, getting to hang out with their friends, have Board meetings for eight hours and discuss things, but nothing happens. They get to jet set around the world and have fun. That's what its been, well that's all I have seen. Even when we have had our AGM, we've never had our whole Board there. Every year I've been, 2 or 3 of the Board are not there. Its sad, very sad. How can you expect the players to make the effort to attend, when some of the Board members don't, even knowing well in advance the date of the meeting. Lee Beechill will be good on the Board, he has some good ideas, is involved in real estate and has a business partner. But he needs the other guys on the Board to feel the same way. He, I think, wants to make some changes, but the guys that have been there for 10 years probably aren't going to want to change.

Did you ever get any details on the Webstreaming rights selection process?
Never got anything, why they chose this company, what they were looking for, why they didn't get other companies to compete. Nothing. That's another grey area where I believe had we should have gone to 4 or 5 companies, give them a trial and speak to them as a business. All I know is Horizon have the contract or the rights, for 3, 4 or 5 years, I don't know. I would like to know. What rights do they have, do we have the ability to branch out or try other companies that can do the job a hell of a lot better.

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Q&A with John White - Part One
Q&A with John White - Part Two
White the Family Guy


source: White Shares His Ideas and Concerns

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mardi 12 août 2008

Cherchez l'erreur ...

Vu sur un site où le squash ne devait sûrement pas être l'activité principale !

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Tohoku Pioneer Corporation

Les vacances commencent généralement début juillet et c'est l'occasion pour les jeunes joueurs de squash de participer aux tournois préparatoires aux championnats du monde de leur discipline. Un des principaux sponsors de ces manifestations est


Tohoku Pioneer Corporation


Employees Consolidated 14,764

Non-consolidated 1,141


(as of March, 2007)
Main Products

speakers, car stereo mechanisms, factory automation (FA) systems, optical disc manufacturing systems, organic light-emitting diode (OLED) displays, microphones, headphones, precision pressed parts, precision resin-molded parts and precision molds/dies.

Hot-air balloon fest

Pioneer holds the Hot-Air Balloon Grand Prix, an event for interacting with visitors of hot-air balloon festival as a patron of the event. We also offer a magnificent night-time concert which unites dozens of hot-air balloons glistening in the night sky and music, "La Mongorfie Nocturne" (Saga).

"La Mongorfie Nocturne"


"mooring of hot-air baloons"unlike thebaloons for racing, the baskets for baloons used for this event have doors, through which people can get into the baskets.

Belgium

Sustainable Energy CampaignPEE


Sustainable Energy CampaignPEE(Pioneer Europe NV)has been accepted by the European Commission as a Sustainable Energy Partner and will contribute to its campaign in the field of "Sustainable Energy in Lighting and Appliances" from 2005 to 2008.The Sustainable Energy Europe2005-2008 Campaign is a European Commission Initiative in the framework of the Intelligent Energy - Europe Program, which aims to raise public awareness and promote sustainable energy production and use among individuals, organizations, professionals, energy agencies, industry associations, and NGOs across Europe. The campaign is conducted based on each partner companies' voluntary agreements.Support for local school library


Make a Wish program


PEE, our local subsidiary in Belgium, supporting a program by providing a DJ experience for 17-years-olds in collaboration with the "Make-A-Wish" Foundation that strives to make dreams come true for children fighting against illness. Participants are able to actually manipulate DJ equipment from Pioneer with instructions from an internationally acclaimed DJ.

et à Köln, l'ACR - Sportcenter-Köln (Neubrücker Ring 48, 51109 Köln) a accueilli du 4 au 7 juillet la Pioneer Junior Squash Cup. La tradition au cours de ces JO (Junior Open) veut que toutes les places soient jouées sur le terrain. Il est difficile pour les organisateurs d'utiliser un logiciel qui leur permet de retrouver facilement ses jeunes.

J'ai donc regroupé tous les matches disputés par les joueurs belges et Nicola Lampis, il défend les couleurs italiennes mais joue en Belgique, dans un diaporama.




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Dutch Junior Open 2008

Dernière répétition avant les championnats du monde, le DJO 08 (Dutch Junior Open 2008) n'a malheureusement pas vu la même affluence que l'année dernière. Les Américains et les Canadiens s'étaient déplacés en masse et on avait ajouté des tableaux pour pouvoir leurs permettre d'être présents au tournoi. Le diaporama ci-dessous reprend les résultats de tous les Belges présents à cette manifestation ainsi que les points récoltés (How the ESF Junior Ranking works) par ceux-ci dans le cadre du circuit ESF (European Squash Federation).

Si les caractères sont illisibles, n'hésitez-pas à cliquer sur l'image , vous serez redirigé vers Picasa.


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lundi 11 août 2008

Alan Thatcher @ 360


About the Author: Alan Thatcher is a journalist, event promoter and TV commentator. Alan joins Squash360.com as Contributing Editor. Come back each Monday as Alan offers his unique insight into the sport. In the weeks and months ahead Alan will interview key figures in the game and share plenty of stories from down the years.

A DEFINING MOMENT FOR SQUASH AS WE JUMP THROUGH HOOPS TO GET INTO THE OLYMPICS

Well, the Olympic Games are in full swing in Beijing and once again squash is not invited to the party.

It will be the same in 2012, when the Olympics return to London. How fitting it would have been for squash to make its debut in the city where the sport was invented, at Harrow School, in Victorian days.

However, the battle is now on for squash to be accepted as an Olympic sport in 2016 as the World Squash Federation continues its lobbying procedures. The host city of the 2016 Games will be announced in Copenhagen, Denmark, on October 2, 2009.



The bidding cities for 2016 are Chicago, Madrid, Rio de Janeiro and Tokyo. Of the four, Chicago and Madrid would appear to offer the best options for squash. Chicago has staged several major PSA events in recent years and, after a gap year because of sponsorship difficulties, a new event, the Sweet Home Chicago Open, makes its first appearance in September, with the glass court staged in a spectacular city centre location.

The selection of stunning venues is a major plus factor for squash, and Madrid offered a royal place to showcase the Women's World Open last year. Significantly, the event was hosted by the Madrid 2016 Olympic Games bid team to demonstrate their ability to stage major international events.

One fascinating element of the tournament was the fact that Spanish TV shot the event in high definition. The WSF kindly asked me to commentate on the highlights programme and the quality of some of the filming was mind-blowing.

If you haven't seen it, try to get a copy from the WSF offices. The super slow-motion replay captured one of the Grinham sisters making a huge lunge for the ball and, to me, commentating in a studio in London and watching the drama unfold, on a huge screen in front of me, it seemed like a defining moment for the televising of our sport.

Our leading athletes need to be lightning fast, have incredible reflexes and be able to sustain a phenomenal physical workrate to succeed at the highest level. However, despite this impressive array of elements, which makes our sport so compelling and exciting to watch in the flesh, television has failed to capture the very essence of the sport.

In the past, an oft-repeated criticism of televised squash is that it makes the game look too easy and fails to show how hard the players are working.

However, by slowing down the movement, and watching an incident unfold, frame by tantalising frame, you could appreciate the incredible stretching, twisting and turning required to retrieve the ball. It was truly, truly amazing.

There is a staggering irony here. While squash remains outside the Olympic fraternity, the costs of producing this ground-breaking TV coverage were absorbed by a proud Spanish city keen to outdo the achievements of the 1992 Games held in Barcelona.

The footballing rivalries of the mighty Real Madrid and Barcelona are a microcosm of the bitter political, cultural and regional differences that dominate Spanish history. But let's not dwell on that here.

At current rates, the production costs of televising squash in HD are at least £25,000 (50,000 USD) a day. I know because that's the figure I was quoted by a major sports marketing company's TV division for a joint partnership in creating a new event especially for television.

Finding that kind of money is a tough challenge for squash.

The Madrid 2016 team clearly enjoy the solid support of their national broadcasters. How wonderful it would be for squash to experience that level of backing, with national TV stations willingly underwriting such superb coverage.

Currently, Malaysia's broadcasters are the only ones to translate their nation's love affair with Nicol David into regular TV coverage.

We can only hope that if squash succeeds in gaining a place in the Olympics then increased TV exposure will follow.

By being an Olympic sport, our national federations will receive increased government funding to assist the process and help to raise the profile of the sport.

Let's wish the WSF every success in their endeavours. Our leading squash players would view an Olympic medal as the ultimate highlight of their careers.

I can't see that view being shared by multi-millionaire golfers, who are also bidding for a place in the Olympics, or by the cosseted tennis players who are already there.

One thing's for sure: an Olympic squash event would not be susceptible to the Beijing smog.

Let's hope those IOC delegates voting in Copenhagen next year have a clear view of squash's qualities. I hope they enjoyed the video from Spain.


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Why Build Squash Courts ?


Why Build Squash Courts?

U.S. adopts the International Squash Game

Until recently, squash in the United States was played with a "hardball" on an "American" court that measured 18'6" wide by 32' long. In the past decade, the "International" game played with a "softball" has been adopted in the U.S. The International Court is larger and measures 21' by 32'.
The NCAA and prep leagues have switched to the International game and as a result, U.S. players are becoming increasingly competitive on the world front. In addition to new construction of International sized courts, schools and clubs continue to convert their American sized courts to meet the International specs.


Over 122 countries are members of the World Squash Federation, which is actively lobbying for inclusion of Squash in the Olympic Games.
Squash is included in the Pan Am and Commonwealth games.

The USSRA is the governing body of squash in the U.S. and is an excellent information source on the game for your area.


Anderson Courts - The Home of Champions

68% of the Intercollegiate Squash All Americans (2003) play on Anderson Courts. The All Americans represent and play for Trinity, Princeton, Harvard, Williams, Cornell and Brown - all of whom chose Anderson Courts as their court builder!

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Life Time Fitness Opens New Squash Courts @ USA

En relation avec l'article précédent et lu au même endroit :

Life Time Fitness Opens Squash Courts across the Country


The following new Life Time Fitness locations will host 4 Anderson squash courts with full programming such as leagues, ladders, lessons, clinics, events, after-school programs and summer camps. We are working closely with US Squash to provide all players with ranking opportunities. To see our centers please go to http://www.lifetimefitness.com
Life Time has over 40 centers across the US with courts and are still growing. We are committed to growing squash across the US.

Questions on programming or locations in your area, please send a email to dmaur@lifetimefitness.com

New Centers Opening are:
Vernon Hills, IL -August 2008 (special membership pricing available for a limited time only) Contact Peter at 847-995-0670 or email prasmusen@lifetimefitness.com
Johns Creek GA - May 8, 2008
Woodstock GA - June 2008

We hope you join us!

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